Quand on y pense, quoi de plus précieux que nos mains ? Que pourrions-nous faire sans elles et sans l’agilité de nos doigts ? Ne nous permettent-ils pas de jouer de la musique, de bricoler, de porter, de toucher, de mesurer ? Or, comme tous nos membres, nos doigts ne sont pas à l’abri de chocs, de coups, de brûlures. On peut se tordre un doigt et des rhumatismes peuvent les rendre douloureux.
En cas d’entorse ou d’élongation, le mieux est d’immobiliser temporairement le doigt avec une attelle grenouille comme celle-ci.
Mais il peut arriver que le tendon extenseur d’un doigt (le plus souvent de l’auriculaire ou du majeur) se rompe donnant un « doigt en maillet ». On le reconnaît au fait que la dernière phalange « tombe » mais reprend sa place si on la soutient avec l’autre main ou en posant la main touchée à plat sur quelque chose. Dans des cas plus rares, cependant, il est difficile de remettre la phalange à plat (en extension donc), et parfois un trauma supplémentaire s’y ajoute (cas du doigt en « col de cygne »).
Le traitement de choix de ce genre d’affection est l’immobilisation des deux dernières phalanges du doigt, parfaitement alignées, à l’aide d’une attelle de stack. (On peut voir notre modèle disponible en 6 tailles, ici : http://www.robe-materiel-medical.com/materiel-medical-Attelle+de+stack-ATT101.html).